Aujourd’hui, nous avons eu la chance d’échanger avec l’association J’avance avec EMA, par l’intermédiaire de sa directrice : Jessica Mavera.
Bonjour Jessica, c’est un plaisir pour toute l’équipe Pep’s Up de discuter avec vous. Racontez-nous l’histoire de votre association. Quels sont ses objectifs ? Quelles sont ses activités ?
« Alors, moi c’est Madame Mavera Jessica. L’association existe depuis peu. On a créé officiellement l’association en septembre 2020.
Pourquoi on a créé l’association ? C’est pour aider des jeunes femmes, mais pas que des jeunes femmes. On va dire que notre public cible, c’est les femmes. Aider les femmes (jeunes mamans…) qui ont des enfants à pouvoir reprendre une activité, mais on peut avoir bien sûr des hommes. On est aussi très focalisé sur la jeunesse.
Dans l’association, on est plusieurs acteurs. Donc il y a le Président, Jean-Paul VELEZ, qui lui est éducateur bientôt à la retraite, normalement à partir du mois d’avril. Ensuite on a Nathalie BOITOUZET qui est Vice-Présidente. Après, il y d’autres membres de l’association comme Adeline IVAIN qui est Educatrice, Séverine TOUSSAINT qui est Chargée d’entreprise et Amina TAHAR aussi qui est Chargée d’entreprise.
On s’est réuni pour pouvoir travailler sur un chantier d’insertion. Un chantier d’insertion, c’est une activité que l’Etat finance en partie pour aider des personnes à retrouver un emploi. Donc au vu de la situation actuelle, l’idée c’est de travailler avec 8 salariés. Le but de l’association au mois de mai est de recruter 8 salariés pour leur permettre de travailler en télécommunication (à distance). On aura des horaires de 9 h à 18 h pour pouvoir mettre en place cette télécommunication. C’est un secrétariat lié à des entreprises. Par exemple, on peut travailler pour une auto-école. On peut travailler pour une entreprise et faire leur secrétariat comme si on était chez eux alors qu’en réalité, on est dans une structure. Il y aura des personnes qui vont encadrer les salariés, les former et leur permettre de pouvoir faire de l’activité à distance pour des entreprises, pour des associations ou à la fonction publique. »
Vu que votre association est assez récente, quel était votre plan avant sa formalisation ?
« Notre plan, c’était avant tout de créer cette association pour créer un chantier d’insertion. Ce qu’on voulait, c’était justement d’aider les femmes à reprendre le travail et être en activité. On aura aussi des jeunes hommes. Et c’est à partir de là qu’on a créé notre association.
On a aussi d’autres projets. Comme nous, on est qualifiés dans tout ce qui va être –Coaching-, on va accompagner les personnes en difficulté. Ça c’est le deuxième projet dans un long terme. Et en troisième objectif, je vous avoue, ce n’est pas ce qu’on va mettre en lumière, mais on espère aussi à un moment donné aller dans l’humanitaire.
Vous comptez actuellement combien d’adhérents au sein de l’association ?
« On n’a pas beaucoup d’adhérents. En conseil d’administration, 6 personnes plus moi. Ensuite, il y a 5 bénévoles. »
Avant de croiser la route de Pep’s Up, comment gériez-vous votre association ?
« Notre association n’est pas ancienne en réalité. Elle est vraiment récente. Avant la formalisation, on a commencé peut-être en juin parce qu’on a dû faire les démarches, les dossiers… Il y avait des choses à faire pour créer l’association. Du coup, notre association est toute neuve. Donc pour notre site internet là, on va partir sur le démarchage de clients pour pouvoir faire leur secrétariat pour pouvoir avancer dans notre activité. »
Par rapport aux besoins de votre association, lequel est pour vous le plus attractif ?
« Nous, on a fait le site internet qui pour l’instant est celui qui nous sert le plus. Et puis peut-être qu’à un moment donné, on passera aussi à la partie « Finance ». Comme notre association est en plein démarrage, nous n’utilisons actuellement que le site internet. Mais s’il y a un autre service qu’on va utiliser, ça va être la partie financière qui semble intéressante. Sinon pour l’instant, il n’y a que le site internet. »
Pep’s Up représente-t-il un bon investissement ?
« Le site internet, c’était très compliqué à mettre en place. Je pense qu’on n’aurait pas eu ce résultat avec le site internet sans Pep’s Up parce qu’il y a tous les outils nécessaires pour pouvoir mettre les choses en place. Après moi je ne m’y connaissais pas forcément avec tout ce qui est informatique. Mais c’est vrai que Pep’s Up a facilité toutes les démarches. Je recommanderai Pep’s Up, c’est un très bon outil. C’est très intéressant. Bon après nous, on est une nouvelle association donc du coup on n’a pas forcément besoin de tous les outils, mais après je pense qu’on va prendre l’outil financier. Après, plus on s’agrandit et plus on aura besoin des autres outils bien sûr ».
Qu’est-ce que vous avez à dire par rapport aux services de Pep’s Up ?
« Ce qui est très positif, il y a un mois gratuit. Après ça peut être court parce qu’il faut que la personne saisisse comment ça fonctionne en fait et qu’elle rentre dedans. Moi au début je n’ai pas saisi. Il faut saisir l’action dès le début, mais c’est très bien d’avoir ce mois. C’est très positif parce que ça permet de ne pas s’engager, mais de juste commencer. Pour les associations, c’est parfait.
Le service technique, il est très bien. Moi quand j’ai eu Sylvain, les échanges étaient très productifs. Donc ça c’était très très positif. Après, mois comme je suis très « téléphone », ce que je propose c’est un numéro de téléphone pour moi qui manquerait sur Pep’s Up. C’est-à-dire une ligne téléphonique où on pourrait poser des questions parce que tout le monde n’est pas informatique. Pour les personnes qui se débrouillent bien et qui ont l’habitude du numérique pourquoi pas ? Pour ceux qui se débrouillent un peu moins bien, la ligne téléphonique reste quand même une facilité.
La publicité elle est top, très bien faite, accrocheuse. Elle donne envie et moi je l’ai vu plusieurs fois, et à un moment donné ça m’a fait de l’œil et je suis rentré dedans. Et puis comme je vous l’ai dit, il y avait aussi cette possibilité de réfléchir avec ce mois d’essai gratuit.
Nous, on n’est pas encore effectif là. On essaie de trouver des clients pour notre démarche. Notre action commence au mois de mai. Donc le site internet va être aussi notre ‘faire-valoir’ pour pouvoir présenter notre action. A ceux qui en parlent et ceux qui en ont besoin, on va proposer Pep’s Up à nos clients. C’est ce que j’avais dit à vos collègues. Donc pour moi c’est très positif »