Aujourd’hui, Cercle Nautique des Bordes nous a ouvert ses portes par l’intermédiaire de Martine Parent. Elle nous raconte l’histoire de cette association riche en aventures.
Bonjour Martine, est-ce que vous pouvez nous raconter l’histoire de votre association, ainsi que ses activités ?
« Alors, c’est le Cercle Nautique des Bordes. Il a été créé en 1978 à l’initiative de quatre communes pour développer la pratique de la natation. A l’origine, on a eu jusqu’à 1000 adhérents parce qu’on faisait de la compétition pour enfants. Mais on a arrêté en 2014 suite à des problèmes avec la piscine. Elle a été fermée pour 18 mois en raison de gros travaux de rénovation ; et en fait, les activités sont réparties sur les piscines environnantes. C’est un club suivant la loi 1901, géré par des bénévoles.
On a 400 adhérents, on en a perdu 30 % l’année dernière. Donc, c’est la pratique de la natation. Essentiellement, initier les jeunes enfants pour qu’ils apprennent à nager. Après, on a de la natation pour adultes, de débutant à confirmé. Et on propose toutes les disciplines d’activités nautiques en piscine : l’aquagym, l’aquabike… pour permettre aux adultes de faire du sport dans l’eau. »
Est-ce que votre club a une envergure locale, régionale, nationale ou internationale ?
« C’est un club local. En fait, on a des créneaux prêtés par une piscine inter-communale et on ne peut prendre que les adhérents habitant les cinq communes : Chenevières, Ormesson… C’est un petit club pour 5 villes de la région parisienne. »
Compte tenu de la situation actuelle, comment est-ce que vous gérez votre association ? Est-ce qu’elle a tout de même des activités en cours ?
« Non, puisqu’on n’a plus le droit de faire du sport en salle. Nous, en plus, c’est une piscine couverte donc c’est fermé depuis le mois de janvier. On n’a plus d’activités. Si vous voulez, les adultes ont eu deux séances en début d’année. Et après ça a été interdit aux adultes, mais autorisé pour les enfants. Donc les enfants vont avoir une dizaine de séances. Ensuite, depuis… rien du tout ! Aucune idée de la date de reprise. »
Nous sommes désolés d’entre cela, cela doit être dur pour tout le monde. Sinon, hors Covid-19, est-ce que vous avez quand même des objectifs en cours ?
« Si vous voulez, l’année dernière, on a fait à peu près 500 adhérents. Donc, on est passé à 400. Il y en a nombreux qui ne se sont pas réinscrits et ils n’ont pas eu tort (rire). L’objectif, c’était plutôt de donner plus de places pour les enfants débutants à partir de 6 ans et on les garde jusqu’à 14 – 15 ans. Ensuite, généralement, soit ils arrêtent la natation s’ils se débrouillent très bien ; soit ils passent en natation adulte. En bref, notre objectif, c’est d’apprendre à nager à un maximum d’enfants. On les conduit débutant, groupe 1, groupe 2… jusqu’à Perfectionnement Ado .
Après, on a des adultes débutants : des gens de 40 à 70 ans qui ne savent pas nager et qui viennent apprendre. C’est sympathique ! On a aussi des gens qui nagent plus ou moins bien qui viennent faire des longueurs sous les conseils d’un maître-nageur. Après on a aquagym, aquabike, aquastep… On a un tas de cours ludiques avec des niveaux suivant l’âge.
Ces cours-là marchaient très bien. On avait une forte demande. Je veux dire que cette année, on a perdu le plus d’adhérents chez les adultes parce que les gens ont eu peur de se réinscrire. Quand ça sera possible, on reprendra doucement parce qu’il y aura des gens qui ne reviendront pas. Par contre, pour les enfants, on a une forte demande.
Comme effectif, on a 7 salariés, 5 maîtres-nageurs et 2 agents d’accueil. Comme c’est la piscine inter-communale, ces personnes vérifient qu’ils (les membres) ont bien une carte d’adhérent, qu’ils sont inscrits au bon cours… On a eu des soucis il y a quelques années. Maintenant, on a deux agents d’accueil et ils nettoient également les points de contact. »
Comment vous gériez votre association avant de croiser la route de Pep’s Up ?
« Etant donné qu’on a eu des gros problèmes de sécurité, la piscine a été fermée 18 mois. L’ancien bureau a démissionné. On a redémarré avec un nouveau bureau et on est passé donc de 1000 adhérents à 200. On utilisait quelques tableurs Excel et on s’en sortait pas mal à l’époque. C’était que des gens qui se connaissaient bien donc il n’y avait aucun souci. Puis petit à petit, ça a grossi. Les adhérents se plaignaient surtout pour les inscriptions, que c’était lent, qu’ils faisaient la queue, que dans les autres clubs il y avait des préinscriptions sur internet, etc.
J’étais d’accord avec eux (rire), je venais d’intégrer le bureau et pour l’inscription, c’était le cauchemar. Je me suis renseigné auprès d’autres clubs, sur internet… Je recherchais justement un logiciel pour gérer les inscriptions. »
A part les soucis auprès des adhérents, est-ce que vous avez connu d’autres problèmes avec votre ancienne stratégie de gestion ?
« Non, parce que comme c’est un petit club (loi 1901). C’est une comptabilité simplifiée, c’était un des membres qui le faisait. Je dirais que ça, ça roulait bien et puis elle aimait le faire, mais après elle est tombée malade et il a fallu trouver une autre trésorière. Elle a demandé un logiciel plus simple et elle a demandé à être épaulée. »
Qu’est-ce qui vous a incité à choisir Pep’s Up au lieu d’un autre logiciel ?
« Vous savez en général les logiciels, ils vous donnent un mois d’essai. Donc, je regardais en fonction de nos besoins, j’en avais sélectionné quatre ou cinq. Et j’ai essayé avec 50 adhérents de gérer et c’est le vôtre qui m’a semblé le plus convivial. C’est uniquement une question de pratique. C’est intuitif, ça m’allait bien. Comme je savais que c’était moi qui m’en occuperais le plus, c’est moi qui l’ai choisi. »
Quels sont les services que vous utilisez ?
« Pratiquement tout, sauf la boutique en ligne parce qu’on n’a pas d’articles. Essentiellement : les adhésions, la comptabilité, les contacts… Là, je viens d’envoyer des emails par rapport au dernier décret sur les sports. Je m’en sers pas mal. On a fait l’histoire. Pour les vacances de Noël, les enfants avaient accès à la piscine. On a fait un stage pour enfants et j’ai fait les inscriptions sur « évènement », ça a très bien marché… les parents étaient contents. Donc je m’en sers à peu près de tout. »
Pour vous, Pep’s Up représente-t-il un bon investissement ?
« Oui, il y a des questions, mais ça va. Le rapport qualité/prix nous convient. »
Est-ce que Pep’s Up a su solutionner tous vos problèmes ?
« Oui ! Ce qu’on apprécie surtout, c’est que chaque fois qu’on a des soucis, vous êtes très réactifs. En général, on commence par vous écrire par email. Si on ne se comprend pas, on se téléphone. A ce niveau-là, ça se passe bien.
On fait pas mal de remboursements d’adhésion et on voudrait soit une adhésion négative, soit un compte à part parce que quand on fait la compta après, ce n’est pas très simple. Donc, actuellement, je suis là-dessus.
Quand on refuse une adhésion, vous la comptez toujours en attente. Moi par exemple, j’ai 9 adhésions en refus et les gens ne reviendront pas. Vous voyez il y a des petits points comme ça »
Là, vous commencez déjà les critiques donc vous pouvez continuer si vous en avez d’autres
« Si vous voulez, ce sont des points de détails. Il faut améliorer ça. Je vois que les autres clubs aussi en demandent donc j’espère que ça aussi, ça va être solutionné. »
Nous sommes déjà arrivés à la fin de cet échange. Est-ce que vous avez autre chose à rajouter ou quoi que ce soit ?
« Non, je crois que je vous ai tout dit. Ça roule et on va rester encore quelques temps. J’espère que ça redémarrera rapidement. »